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Traumatismes

4 Déc, 2020 | Accompagnement de la maladie

Certaines expériences particulièrement choquantes laissent une trace indélébile dans la mémoire. Parfois, ce que la victime ou le témoin doit affronter, ce n’est pas juste un mauvais souvenir, mais un véritable choc émotionnel.

Comment reconnaître un traumatisme psychologique ?

Attentat, accident, abus sexuel, agression physique ou sous la menace, etc. : les victimes directes ou indirectes peuvent garder des séquelles psychologiques graves de ces événements traumatisants. Dans un processus de réaction normale face à une menace, tout le corps entier se met en alerte, ce niveau d’alerte est censé retomber assez rapidement une fois le danger passé. Dans le cas d’un état de stress post-traumatique, le cerveau reste “figé” dans cette phase de peur et de stress extrême. Le quotidien est alors perturbé par un sentiment d’insécurité quasi-constant, des crises d’angoisse, des insomnies, etc.

La sophrologie, l’une des meilleures méthodes pour traiter l’état de stress post-traumatique

Un traumatisme émotionnel doit impérativement être traité le plus rapidement possible, sous peine d’empirer au fil de temps et de mener vers la dépression, des difficultés sociales ou encore des troubles du comportement. Les premières séances de sophrologie permettent de “déchoquer” la victime dans l’urgence, afin d’éviter que le stress post-traumatique ne s’installe durablement. Réalisées seules ou en complément d’un suivi psychologique, les exercices de respiration, de relaxation et de projection évitent au corps de se crisper totalement et aident la victime à gérer ses émotions puis à lâcher-prise.